Ce mercredi Christian G. a trouvé 2 plateaux de gravats (pierres + terre) venant d’un chantier de démolition.

Dans ces cas là nous essayons de remblayer directement un chemin, au lieu de passer par du stockage temporaire. Un dépôt du remblai en attendant de l’utiliser nous permet certes de nous organiser pour l’utiliser mais impose 1) de trouver un lieu de dépôt et 2) de reprendre plus tard ce remblai, d’où plus de manutention (et nous manquons cruellement de moyen de chargement).

Donc en déposant directement les gravats dans un sentier nous sommes gagnants, mais : il faut que le sentier soit accessible et il faut pouvoir mobiliser, parfois à l’impromptu, quelques bénévoles pour étaler la marchandise. Chose faite aujourd’hui : direction chemin de la Truballe (celui entre les Communs et le Carrefour) ; nous n’allons pas revenir encore sur les conditions climatiques, mais les pauvres piétons ne pouvaient plus passer au sec et au propre sur une partie du sentier.

Christian et Yves (d’excellents éléments !) ont donc déposé, organisé, étalé le gravat, dans l’eau et la boue. Tout n’a pas pu être remblayé, loin de là ; il faudra revenir, et probablement avec une mini-pelle pour creuser un fossé et poser une buse.
Les coureurs à pied de Argentré passaient par là et nous ont remercié pour le travail ; ça fait toujours plaisir. Les cyclistes risquent de trouver le passage un peu chaotique : de grosses pierres affleurent encore.

Ce même jour, et la veille, Anthony nous a apporter quelques m3 (en fait beaucoup) d’excellent remblai (à base d’argelette) provenant d’un chantier de travaux publics. Cette fois-ci la taille des camions (un 8×4 et une semi-remorque) ne permettait pas de rentrer dans un chemin pour déposer la camelote ; nous avons donc obtenu l’accès à un terrain communal pour stocker le matériau.

Ce jeudi, Michel G. et Christian G. (toujours lui), vont finir de couper l’herbe dans les sentiers qui n’avaient pu être faits la semaine dernière.

Et la semaine prochaine, ça continue : Vitré Communauté vient nous aider 2 jours pour broyer l’herbe des chemins ; c’est certes un travail que nous faisons aussi, mais leur outil de broyage est large et peut se déporter et est donc plus efficace ; ça soulage bien notre association et ses bénévoles.

On improvise !

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